Rendre témoignage

Exemple

Le témoignage que nous rendons est un puissant outil que le Saint-Esprit peut utiliser pour parler au cœur des non-croyants.

Lorsque nous racontons ce que le seigneur a fait pour nous à une personne non croyante, celle-ci est à même de constater des faits. Des faits réels qui se sont véritablement produits.

Les apôtres rendaient témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus. (Actes 4.33)

Ils parlaient de leur expérience. Ils avaient côtoyé le Seigneur Jésus sur la terre. Ils avaient voyagé avec lui. Ils avaient mangé et dormi avec lui. Ils avaient vu Jésus vivant et avaient eu le privilège de lui parler.

Par la suite, ils ont été témoins de son arrestation, de sa condamnation et de sa crucifixion. Il mourut devant leurs yeux.

Un matin, alors qu’ils s’affligeaient et qu’ils étaient dans la tristesse (Marc 16.10) des femmes vinrent leur annoncer qu’elles venaient de voir le Seigneur Jésus vivant. Il était ressuscité comme il le leur avait dit. (Luc 9.22)  Un pareil témoignage était difficile à croire. Ils refusèrent de croire ce qu’elles racontaient. (Marc 16.11)

Pourtant, elles l’avaient bel et bien vu vivant devant elles. Elles racontaient des faits. D’autres personnes sont aussi venues leur annoncer qu’il était vivant. Encore une fois, ils ne crurent pas ces témoignages. (Marc 16.12)

C’est seulement lorsque Jésus se présenta à eux (les disciples) qu’ils crurent. Ils venaient de vivre une expérience hors du commun. Ils allaient maintenant raconter les faits de la résurrection du Seigneur Jésus avec force. Pour eux, c’étaient des faits.

Le témoignage de l’œuvre de la personne du Seigneur Jésus dans un individu est un fait bien réel. Ce que cette personne a vécu avec le Seigneur, lorsque c’est raconté, agit avec une grande force chez ceux qui l’entendent.

Ne racontons pas seulement ce que nous avons entendu, mais racontons ce que nous avons vécu.

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Exemple

La différence fondamentale, entre Jésus et n’importe qui d’autre, c’est que le fils de Dieu est ressuscité. N’importe quel autre personnage, si grand qu’il fût, n’est jamais ressuscité. Ils sont nés, ils ont vécu et, comme tous les autres hommes de cette planète, ils sont morts et ne sont jamais revenus à la vie. Leur présence n’est demeurée qu’un vague souvenir.

Jésus n’était pas n’importe qui. Il était le fils de Dieu. (Mt 3.17) Il était avec Dieu depuis le commencement. (Jean 1.1) Il était sans cesse dans la présence de Dieu. (Pr 28.30)

Lorsque Adam et Ève ont désobéi à Dieu en mangeant du fruit défendu, cela amena une condamnation sur toute l’humanité depuis Adam jusqu’à aujourd’hui. Cette condamnation, bien qu’injuste pour nous aujourd’hui, nous en vivons les conséquences. D’ailleurs, David s’est exprimé en ces termes :

Oui, depuis ma naissance, je suis coupable; quand ma mère m’a conçu, j’étais déjà marqué par le péché.  (Ps 51.7)

Cet état de fait est notre lot à nous aussi. Nous avions donc besoin que quelqu’un nous libère de ce châtiment qui nous a été imposé par Adam.
Dans son plan parfait, le Père avait déjà tout prévu. Mais il lui fallait pour cela un homme qui n’ait pas péché. Cet homme n’était nul autre que le Seigneur Jésus.

Pour ce faire, il est né d’une vierge, a vécu dans un corps comme le nôtre, mais il n’a jamais péché. Il s’est offert volontairement à venir mourir sur cette infâme croix dans un seul et unique but, celui de nous libérer. Il l’a fait par amour. Paul l’apôtre nous dit :

 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.  (Ro 5.8)

Aujourd’hui, un jour nouveau peut se lever sur ta vie. Il te suffit de reconnaître que tu es pécheur, de demander pardon à Dieu pour tes péchés, de lui dire que tu voudrais vivre pour lui et d’inviter Jésus à entrer dans ta vie et ton cœur. Tu sais quoi, il le fera. Ceci s’appelle la nouvelle naissance. Il te faut naître de nouveau si tu veux aller au ciel après ta mort. Ne néglige pas un si grand salut payé de la vie d’un homme (Jésus) afin que tu puisses vivre éternellement. Comme nous dit le Seigneur :

Aussi vrai que je suis vivant […] je ne prends pas plaisir à voir le méchant mourir, mais à le voir changer de conduite et vivre. Renoncez, renoncez à votre mauvaise conduite! Pourquoi devriez-vous mourir? (Éz 33.11)

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