Venez c’est gratuit

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Venez c’est gratuit

Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n’a pas d’argent ! Venez, achetez et mangez, venez, achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer ! (Ésaïe 55.1)

Ce passage est une invitation à venir dans la présence de Dieu. Ce n’est pas un endroit comme un autre. C’est le lieu par excellence de restauration sans équivoque.

L’impératif, venez, est répété trois fois dans ce seul verset. Dieu appelle encore et invite toujours à venir dans sa présence. Cette présence est le lieu de restauration sans contredit par excellence et de ressourcement que nous ne pouvons pas nous passer.

Cette invitation retentit encore aujourd’hui. Depuis ce temps jusqu’à aujourd’hui, Dieu n’a cessé d’inviter les hommes et les femmes à venir dans sa présence.

Cette invitation est pour toi qui as soif. Jésus a dit :

Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. (Jean 7.37)

La source d’eau vive est encore disponible pour toute personne qui a soif.

Cette source est offerte gratuitement. Dieu nous offre son salut tout à fait gratuitement. C’est un don. Nous n’avons pas à le payer ou encore tenter de l’acheter. Il est offert tout à fait gratuitement.

Il est accessible à tout individu dans distinction ni restriction. La seule condition est de venir. Dieu sera toujours prêt à te recevoir. Il t’offre de venir à ce festin tout à fait gratuit. Le prix a déjà été payé par son fils.

Pour toi qui as soif spirituellement, pourquoi te priver de cette eau vive? Pour toi qui as faim spirituellement, pourquoi te priver de ces aliments si succulents?

Un jour, la porte du festin se refermera et il sera trop tard pour venir. À ce moment, tu te demanderas pourquoi tu n’y es pas allé. Tu frapperas et personne n’ouvrira. Tu attendras devant la porte en espérant que tu puisses y entrer avec une autre personne, mais plus personne n’y entrera.

Cette porte est ouverte maintenant. Pourquoi résistes-tu à une si merveilleuse invitation? C’est ce que tu recherches depuis tellement de temps.

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. (Matthieu 11.28)

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La circoncision est-elle encore nécessaire aujourd’hui? C’est une question intéressante à laquelle je répondrais oui et non. Je vais vous expliquer pourquoi.

Au début, la circoncision était le signe de l’alliance de Dieu avec son peuple par Abraham. Par ailleurs, tout mâle devait se faire circoncire sinon il était exterminé du milieu du peuple. (Ge 17.14) Ce signe identifiait concrètement les membres du peuple de Dieu dans la chaire. Elle était le signe visible extérieur de chaque homme juif.

Aujourd’hui, avec la nouvelle alliance la réponse est non. Parce que la circoncision n’est plus nécessaire. J’en entends qui respirent mieux maintenant. Paul écrit : « Quelqu’un a-t-il été appelé étant circoncis, qu’il demeure circoncis ; quelqu’un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu’il ne se fasse pas circoncire? (1 Co 7.18) Pour l’enfant de Dieu, la circoncision n’est plus requise pour s’identifier au peuple de Dieu.

À ce moment-ci, je répondrais, oui, la circoncision est encore nécessaire, même si cela parait contradictoire à première vue, non pas de la circoncision physique, mais la circoncision du cœur. Par le fait même, la même marque physique s’applique désormais spirituellement. Le prophète Jérémie dira : « Car toutes les nations sont incirconcises, et toute la maison d’Israël a le cœur incirconcis. » (Je 9.26) Déjà à ce moment Dieu faisait remarquer à son peuple que la circoncision du cœur était importante et nécessaire plus que la circoncision dans la chaire l’était dans le passé.

L’apôtre Paul écrit : « Car ce n’est rien que d’être circoncis ou incirconcis ; ce qui est quelque chose, c’est d’être une nouvelle créature. » (Ga 6.15) Voilà ce qui est le plus important, être une nouvelle créature. Jésus nous dit que nous devons naître de nouveau. C’est ce qui est nécessaire. La marque est la circoncision de notre cœur. Nous ne naissons pas enfants de Dieu. De même que nous ne sommes pas tous enfants de Dieu comme le prétend le pape François.

Bien au contraire, ce qui fait de nous des enfants de Dieu c’est la nouvelle naissance. Ce qui démontre notre appartenance au corps de Christ c’est le baptême. Ce qui nous identifie c’est la circoncision du cœur.

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La personne d’abord

Avec la nouvelle année, nous en profitons pour dévoiler notre thème annuel qui en 2018 sera LA PERSONNE D’ABORD.

C’est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. Jean 15:12

Nous voulons par ce thème sensibiliser chaque membre du Centre Chrétien au fait que la personne est la plus importante. Mentionnons qu’au sein même de toutes organisations religieuses ou séculières, sans les personnes, tout ce que nous faisons n’a pas de sens ni même de raison d’être.

La Bible dans son entièreté concerne des personnes. Que ce soit la personne de Dieu, du Seigneur Jésus ou encore des justes et des méchants, tout est par et pour des gens.

Nous voulons donc en ce début d’année mettre l’accent sur la personne en tout premier lieu. De plus, si nous considérons honnêtement tout ce que nous faisons nous nous rendons bien compte que c’est pour des gens que nous nous activons.

Pour cela, il est important de prendre conscience du caractère précieux que revêt chaque être humain aux yeux de Dieu. Que chaque personne mérite d’être traitée avec le plus grand respect et la plus haute estime. Par ailleurs, c’est de cette façon que Dieu nous traite. Son amour sacrificiel est tellement fort que nous ne pouvons plus y résister lorsque nous l’avons connu. Nous ne pouvons pas non plus rester insensibles par tant de dévouement de sa part.
En tout cela, Jésus nous a donné un commandement qui est de s’aimer les uns les autres comme lui nous a aimés. (Jean 15.12) Il nous démontra son amour en se faisant serviteur de tous et en mourant sur la croix afin de nous rendre libres en ce qui a trait au péché.

En retour, ce qu’il nous demande c’est de nous aimer comme lui nous a aimés. Il a donné sa vie pour nous avant même que nous soyons nés.

À notre tour, ne devrions-nous pas donner notre vie pour les autres?

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