La personne d’abord

Exemple

La personne d’abord

Avec la nouvelle année, nous en profitons pour dévoiler notre thème annuel qui en 2018 sera LA PERSONNE D’ABORD.

C’est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. Jean 15:12

Nous voulons par ce thème sensibiliser chaque membre du Centre Chrétien au fait que la personne est la plus importante. Mentionnons qu’au sein même de toutes organisations religieuses ou séculières, sans les personnes, tout ce que nous faisons n’a pas de sens ni même de raison d’être.

La Bible dans son entièreté concerne des personnes. Que ce soit la personne de Dieu, du Seigneur Jésus ou encore des justes et des méchants, tout est par et pour des gens.

Nous voulons donc en ce début d’année mettre l’accent sur la personne en tout premier lieu. De plus, si nous considérons honnêtement tout ce que nous faisons nous nous rendons bien compte que c’est pour des gens que nous nous activons.

Pour cela, il est important de prendre conscience du caractère précieux que revêt chaque être humain aux yeux de Dieu. Que chaque personne mérite d’être traitée avec le plus grand respect et la plus haute estime. Par ailleurs, c’est de cette façon que Dieu nous traite. Son amour sacrificiel est tellement fort que nous ne pouvons plus y résister lorsque nous l’avons connu. Nous ne pouvons pas non plus rester insensibles par tant de dévouement de sa part.
En tout cela, Jésus nous a donné un commandement qui est de s’aimer les uns les autres comme lui nous a aimés. (Jean 15.12) Il nous démontra son amour en se faisant serviteur de tous et en mourant sur la croix afin de nous rendre libres en ce qui a trait au péché.

En retour, ce qu’il nous demande c’est de nous aimer comme lui nous a aimés. Il a donné sa vie pour nous avant même que nous soyons nés.

À notre tour, ne devrions-nous pas donner notre vie pour les autres?

La Suite →
Exemple

Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. Jean 15:12

Pendant son séjour sur la terre, Jésus nous a enseigné de nous aimer les uns les autres. Ce commandement pouvait paraître facile à respecter. En effet, il l’était tant et aussi longtemps que tout allait bien et que personne ne faisait des choses qui nous blessaient ou venaient à l’encontre de nos convictions.

Dans ce même passage, Jésus ajouta « comme je vous ai aimés ». Voilà l’essence même d’aimer les autres.
Jésus est venu sur cette terre et il a vécu avec nous (Jn 1.11). Il a ressenti la fatigue, la soif, la faim, le sommeil, il a certainement eu mal aux pieds à force de marcher. Il a même assurément ressenti la douleur dans ses muscles et dans son corps en se levant le matin tout comme nous.

Encore, les gens l’ont blessé physiquement et émotionnellement. Ils l’ont fait souffrir avant de le clouer sur cette infâme croix. Dans tout cela, Jésus nous a profondément aimés. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a accepté de souffrir et de mourir à notre place.

En retour, il nous demande de nous aimer les uns les autres comme il nous a aimés. Nous avons ce devoir d’aimer les gens qui nous entoure, et cela même s’ils nous font souffrir, nous déshonore, nous blesse ou encore raconte des faussetés à notre sujet.

Tout comme notre maître, nous avons à souffrir dans ce monde si nous nous affichons pour la vérité. D’ailleurs, les gens ne tarderont pas à nous faire souffrir par leurs paroles désobligeantes.

L’apôtre Pierre nous dit de nous aimer « ardemment » (1 Pi 1.22). C’est la marque distinctive des disciples du Seigneur Jésus. Le croyant, sera toujours prêt à aider et non à réprimander. Il voudra prendre soin plutôt que de blâmer. Il s’efforcera de ne pas juger afin d’apporter réconfort et soutien à celui qui a maille à partir avec le péché ou encore qui est faible dans sa foi.

L’amour couvre toutes les fautes (Pr 10.12) l’amour de Jésus à complètement recouvert toutes nos fautes. Il n’a pas tenu compte de notre nature pour nous aimer. À plus forte raison, ne devrions pas faire de même?

La Suite →
Exemple

Ce qui nous unit fortement ensemble, ce sont les liens d’amour. Des liens que nous tissons au fil du temps les uns avec les autres. Ce n’est pas par hasard que ces liens se forment. Au contraire, c’est le résultat d’un travail assidu et acharné que nous choisissons de faire envers nos frères et sœurs.

D’autre part, ce désir de construire des liens d’amour est également motivé par une forte volonté de cœur de plaire au Seigneur et de lui obéir. L’amour entre les frères et les sœurs ne se développera pas tout seul. Nous devrons faire beaucoup d’effort afin que ça se concrétise et se matérialise.

Pour rendre cela possible, tout d’abord, il nous faut savoir que c’est un commandement du Seigneur Jésus de nous aimer les uns les autres, tout comme l’apôtre Jean nous dit :

Nous devons nous aimer les uns les autres. 1 Jean 3.11

Donc, l’amour entre frères et sœurs n’est pas facultatif. C’est un devoir pour chacun de nous. Nous devons faire tous les efforts nécessaires pour construire des liens d’amour entre nous parce que c’est ce qui nous unit fortement les uns les autres.

Pour ce faire, nous devrons accepter que l’autre soit différent de nous. Nous choisirons d’accepter qu’il puisse nous blesser et nous écorcher, et nous devrons apprendre à pardonner, même si cela nous fait mal.

Ce lien d’amour, qui nous unit et que nous devons construire, est à la fois solide et fragile. Sa fragilité se démarque par la susceptibilité qui est une caractéristique de l’immaturité, tandis que sa solidité se distingue par la maturité que nous acquérons au fils du temps et des épreuves.

Il faut beaucoup de maturité pour aimer sans condition. C’est pourquoi les gens qui aiment véritablement ne posent aucune condition et ne s’attendent à rien en retour de leur amour. Ils savent que Dieu est la principale source où ils pourront s’abreuver en tout temps. Ainsi, ils pourront construire des liens solides sans s’attendre à recevoir en retour.

La Suite →
Exemple

Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Éphésiens 2.8

Ce passage d’Éphésiens 2.8 nous démontre admirablement bien ce qu’est le salut. Un salut qui nous est offert gratuitement par Dieu et que nous recevons par la foi. Comme le dit William MacDonald dans son commentaire :

Tout prend son origine avec la grâce de Dieu. Il prend l’initiative en y pourvoyant. Le salut est donné à ceux qui sont entièrement indignes, sur la base de la personne et de l’œuvre du Seigneur Jésus.

Il est donné comme une possession présente. Ceux qui sont sauvés peuvent le savoir. En écrivant aux Éphésiens, Paul dit : Vous êtes sauvés. Il le savait, et eux aussi.

La manière dont nous recevons le don de la vie éternelle est par le moyen de la foi. La foi signifie que l’homme se reconnaît comme pécheur coupable et perdu, et qu’il reçoit le Seigneur Jésus comme sa seule espérance de salut. La foi authentique qui sauve est l’engagement de quelqu’un envers une personne.

Toute idée que l’homme puisse gagner où mériter le salut est exclue par les mots cela ne vient pas de vous. Les mots ne peuvent rien faire, et les pécheurs ne méritent rien d’autre que le châtiment.

C’est le don de Dieu. Un don, bien sûr, est un cadeau gratuit et inconditionnel. C’est la seule base sur laquelle Dieu offre le salut. Le don de Dieu est le salut par grâce et par le moyen de la foi. Il est offert à tout homme où il se trouve. »1

Tout comme Zachée, ne laissons pas les autres nous empêcher de connaître Jésus. Cherchons coûte que coûte à voir Jésus. Il veut nous rencontrer aujourd’hui.

__________________________________
1. Le commentaire du disciple de toute la Bible, page 1994

La Suite →
Suivre par courriel:

Catégories