La puissance de Dieu pour le salut

Exemple

Lorsque nous parlons de la puissance de Dieu pour le salut, nous nous attendons à un déploiement de force. Par exemple la force nécessaire afin qu’une navette spatiale s’arrache de la traction terrestre pour se placer en orbite. C’est vraiment un déploiement spectaculaire de force que nous pouvons constater.

Par contre, la puissance de Dieu pour le salut est une démonstration au-delà de la capacité humaine. C’est tout aussi spectaculaire, si non plus, de voir la force nécessaire pour arracher une personne de l’attraction du royaume des ténèbres et de la placer dans le royaume de Dieu. Aucun homme ne peut faire cela. Galates 1.4 nous dit : « qui s’est donné lui-même (Jésus) pour nos péchés, afin de nous arracher du présent siècle mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père ». La mort la résurrection de Jésus est la puissance de Dieu pour le salut.

En grec, le mot utilisé pour puissance est dunamis. Il nous a donné deux mots en français. Le premier, dynamite est une puissance destructrice. Un déploiement de force qui fait éclater les rochers et détruit tout par le souffle de son explosion. Le second mot est dynamo qui est une puissance constructrice. La dynamo produit de l’électricité nécessaire pour faire tourner les machines qui vont produire à leur tour divers produits.

L’évangile est les deux à la foi. Lorsque les gens l’acceptent, il détruit les œuvres du diable dans la vie de ces personnes. Puis, il change du tout au tout les styles de vie. Il redonne espoir et un réel sens à la vie des individus.

Seulement, pour que cette puissance puisse se déployer, il faut croire. Romains 1.16 nous dit : « (L’Évangile) est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit ». Celui qui ne croit pas, Dieu ne peut rien faire pour lui. De même, celui qui ne croit pas, Christ ne peut rien faire pour lui et celui qui ne croit pas, le sacrifice de Christ est sans aucune valeur et la puissance de Dieu ne peut être déployée pour le salut.

Croire est l’ingrédient essentiel. Croire nous donne la vie, ne pas croire nous laisse dans les ténèbres. Chaque personne est face à un choix dans sa vie; croire ou ne pas croire. Quel choix feras-tu aujourd’hui pour changer ta condition?

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Exemple

Lorsqu’une personne est invitée à faire une prière de repentance, nous lui disons que ses péchés sont désormais pardonnés, qu’elle est maintenant née de nouveau, qu’elle est devenue une nouvelle créature et que le Saint-Esprit habite en elle. Cela est vrai, mais pour plusieurs personnes une question demeure : Comment est-ce que je peux savoir si je suis réellement devenu un enfant de Dieu? Bien entendu, la question est légitime et nécessite une réponse.

La première chose qu’il nous faut savoir, c’est que ça n’a rien à voir avec les sentiments. De plus, pour ce qui est du spirituel, il ne faut jamais se fier à nos sentiments. Quelqu’un disait, en parlant des sentiments, que c’est un sens qui ment. Il avait bien raison. Si nous nous fions à nos sentiments, un jour nous sommes enfants de Dieu et le lendemain nous ne le sommes plus, un jour l’Esprit de Dieu habite en nous et le lendemain il est parti pour on ne sait quelle raison. Nos sentiments réagissent en fonction des événements qui nous environnent. Dans ce cas, c’est véritablement une vie de hauts et de bas que nous vivons, et ce n’est pas à ce genre de vie que le Seigneur nous appelle.

Donc, la question demeure, comment puis-je savoir si je suis enfant de Dieu? L’apôtre Paul répond à la question en toute honnêteté : « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. » (Romains 8.16) Selon ce passage, c’est l’Esprit saint qui nous confirme (rend témoignage) que nous sommes enfants de Dieu. C’est son Esprit qui parle à notre esprit. Nous obtenons le salut par la foi, certes, mais il est encore plus vrai que c’est l’Esprit saint qui corrobore à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.

Nous devons apprendre à entendre la voix du Saint-Esprit. Faire la différence avec la voix de nos sentiments. Discerner quand l’Esprit parle ou encore lorsque ce sont mes sentiments qui parlent. Si vous n’êtes pas certain que vous êtes enfant de Dieu, demandez à Dieu de vous le confirmer. Demandez-lui de vous parler.

Trop souvent, nous n’entendons pas sa voix parce que nous voudrions qu’il nous parle de telle ou telle façon, mais Dieu communique de différentes façons et nous devons être attentifs pour bien entendre. Job dira : « Dieu parle cependant, tantôt d’une manière, tantôt d’une autre, et l’on n’y prend point garde. (Job 33.14)

Prenons garde à la manière que Dieu nous parle et accueillons ce qu’il veut nous dire en ce moment même.

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Exemple

De pécheur à juste

Un jour, Jésus passa près d’un homme appelé Lévi. Il n’avait pas une bonne réputation à cause de sa profession de collecteur d’impôt. Pourtant, cela n’a pas empêché Jésus d’inviter cet homme à le suivre. De l’inviter de passer de pécheur à juste.

Après cela, Jésus sortit, et il vit un publicain, nommé Lévi, assis au lieu des péages. Il lui dit : Suis-moi. (Luc 5.27)

Jésus ne regarde pas à ce que nous sommes lorsqu’il nous appelle, mais il regarde à ce que nous pouvons devenir.
Lévi laissa tout, se leva, et suivit Jésus. (Luc 5.28)

Une promptitude plutôt remarquable pour cet homme. Sur une simple invitation à suivre Jésus, Lévi a tout laissé pour le rejoindre. Si nous comprenions que de suivre Jésus n’implique pas seulement une vie plus agréable, serions-nous aussi enclins à le suivre aussi rapidement?
Le récit ne s’arrête pas là. Lévi organise un grand festin dans sa maison.

Lévi lui donna un grand festin dans sa maison, et beaucoup de publicains et d’autres personnes étaient à table avec eux. (Luc 5.29)

Peut-être parce qu’il était heureux que Jésus l’invite à le suivre. Quoi qu’il en soit, plusieurs personnes étaient présentes au festin et appréciaient sûrement le fait d’y être. Il y avait beaucoup de publicains et d’autres personnes. Pour les pharisiens, ce n’était pas normal. Jésus, selon eux, ne devait pas être là et manger avec ces gens de mauvaise vie. Jésus va leur répondre :

Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs. (Luc 5.31-32)

Jésus est venu appeler à la repentance des pécheurs. Sa vie, sa mort et sa résurrection en témoignent. Il est venu « publier une année de grâce ». (Luc 4.19) Il est aussi « venu chercher et sauver ce qui était perdu. » (Luc 19.10)

Il est encore possible de passer de pécheur à juste. Paul a dit aux gens à Athènes :

Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir. (Actes 17.30)

Ce même message résonne encore aujourd’hui. Pour aller au ciel, il est nécessaire de se repentir. Il ne sera pas possible à quiconque d’entrer s’il ne s’est pas repenti. Le message de la croix est que tu peux venir à Dieu et qu’il t’accueillera parce que Jésus a payé le prix sur la croix afin que tu passes de pécheur à juste. Il t’a justifié, mais encore faut-il que tu reconnaisses cet état de fait.

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Exemple

Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Éphésiens 2.8

Ce passage d’Éphésiens 2.8 nous démontre admirablement bien ce qu’est le salut. Un salut qui nous est offert gratuitement par Dieu et que nous recevons par la foi. Comme le dit William MacDonald dans son commentaire :

Tout prend son origine avec la grâce de Dieu. Il prend l’initiative en y pourvoyant. Le salut est donné à ceux qui sont entièrement indignes, sur la base de la personne et de l’œuvre du Seigneur Jésus.

Il est donné comme une possession présente. Ceux qui sont sauvés peuvent le savoir. En écrivant aux Éphésiens, Paul dit : Vous êtes sauvés. Il le savait, et eux aussi.

La manière dont nous recevons le don de la vie éternelle est par le moyen de la foi. La foi signifie que l’homme se reconnaît comme pécheur coupable et perdu, et qu’il reçoit le Seigneur Jésus comme sa seule espérance de salut. La foi authentique qui sauve est l’engagement de quelqu’un envers une personne.

Toute idée que l’homme puisse gagner où mériter le salut est exclue par les mots cela ne vient pas de vous. Les mots ne peuvent rien faire, et les pécheurs ne méritent rien d’autre que le châtiment.

C’est le don de Dieu. Un don, bien sûr, est un cadeau gratuit et inconditionnel. C’est la seule base sur laquelle Dieu offre le salut. Le don de Dieu est le salut par grâce et par le moyen de la foi. Il est offert à tout homme où il se trouve. »1

Tout comme Zachée, ne laissons pas les autres nous empêcher de connaître Jésus. Cherchons coûte que coûte à voir Jésus. Il veut nous rencontrer aujourd’hui.

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1. Le commentaire du disciple de toute la Bible, page 1994

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